La famille Benoît-Duval

La famille du coin : Jean-François Benoît et Karine Duval de Montréal

Franchisés, Montréal

Derrière chaque franchise St-Hubert se trouve une famille et son histoire. Dans trois restaurants de Montréal, c'est celle de Jean-François Benoît et de Karine Duval. En couple dans la vie comme au travail, le franchisé et la directrice se sont rencontrés à la rôtisserie de la gare Windsor.

Jean-François Benoît et Karine Duval ne prévoyaient pas faire carrière chez St-Hubert. Pourtant, tous les deux ont plus de 20 ans d’expérience au sein du réseau. Jean-François est le franchisé de trois St-Hubert Express : celui de Verdun, de Viau, et de Pointe-aux-Trembles et Karine travaille avec lui comme directrice de la Rôtisserie Express de Viau.

L’aventure de Jean-François au sein de la grande famille St-Hubert a commencé il y a 26 ans. À l’époque, c’est comme plongeur qu’il travaille pour la rôtisserie de Shawinigan avant de déménager à Drummondville pour un poste d’assistant-gérant à la rôtisserie situé sur la rue Saint-Joseph. En 2006, il achète la rôtisserie de Viau, suivra celle de Verdun en 2015 et finalement Pointe-aux-Trembles en 2018. Karine, de son côté,arrive chez St-Hubert en 2000 alors qu’elle étudie en enseignement de l'éducation physique. Elle travaille au restaurant de la gare Windsor comme barmaid lorsqu'elle rencontre Jean-François. L’amour s’installe entre eux deux. Résultat : Karine s’intéresse de plus en plus à la gestion… et de moins en moins à l’enseignement.
 

Jean-François et Karine ont un premier garçon, puis un deuxième. C’est entre ses deux grossesses que Karine décide de faire équipe avec son conjoint au restaurant de Viau. Sa force ? Le service à la clientèle. C’est d’ailleurs grâce à cet atout qu'elle aide son partenaire à remonter dans le classement des franchises St-Hubert.

Gestion d'équipe au restaurant comme à la maison

En plus des trois restaurants, le couple s’occupe d’une fratrie de quatre garçons: un de 22 ans, un de 16 ans, un de 9 ans, et un de 7 ans. Les deux plus vieux sont nés de l’union précédente de Jean-François. L’aîné a d'ailleurs commencé à travailler au restaurant de Verdun en février 2021. Jean-François s’assure d’apprendre tous les postes à son fils, question qu’il ait les mêmes chances, mais également les mêmes défis que le reste de ses employés.
 

Les équipes des trois restaurants sont toutes très proches l’une de l’autre. Trois des livreurs de la rôtisserie de Viau y sont d’ailleurs depuis son ouverture il y a presque 20 ans. Pour nourrir le sentiment d'appartenance, Karine aime offrir de petites attentions à son équipe. Elle leur achète notamment des chocolats à Pâques et à la Saint-Valentin, en plus de leur écrire des cartes personnalisées à Noël. « Nous nous impliquons beaucoup, nous mettons la main à la pâte tous les jours. Les employés peuvent compter sur nous », dit-elle.
 

S'impliquer dans la communauté un repas à la fois

« On s’implique depuis plusieurs années à travers plusieurs organismes locaux à travers la Fondation St-Hubert », explique Jean-François. À Viau, le couple donne aux organismes Avant tout, les enfants et au Centre de réadaptation Marie Enfant, affilié au CHU Sainte-Justine. Le restaurant de Pointe-aux-Trembles donne de grosses quantités de soupe à l'événement de lutte contre le cancer Relais pour la vie et celui de Verdun, des repas aux CLSC et aux centres de personnes âgées du coin.

Comment décririez-vous la grande famille St-Hubert?

« Ce sont tous des gens passionnés qui travaillent fort », dit Jean-François. « C’est ça la force du réseau St-Hubert, la passion ! » ajoute Karine. Jean-François aime faire partie du réseau de franchisés pour le sentiment d'appartenance. « On se parle souvent, on se texte, et parfois on s’appelle quand on a des questions », explique-t-il.

« Je suis fier d’être parti de zéro, d'avoir grimpé les échelons et d’être atterri ici après tout ce temps-là », conclut Jean-François. Et il a de quoi l’être.